Résumé

L’Homme, fonctionnaire, est dans la mi-quarantaine. Sa vie est sur la vitesse de croisière. Jusqu’à sa retraite. Tout va bien sauf que… un mal-être qu’il ne peut identifier. Donc, il n’en parle pas. Puis il gagne deux billets de théâtre pour aller voir Les trois sœurs… et Tchékhov mettra en mots lumineux son trouble intérieur. Son regard sur sa vie ne sera plus jamais le même.

Créée il y a plus de quinze ans, Lentement la beauté a marqué tous ceux et celles qui l’ont vue. Récipiendaire de nombreux prix, dont le Masque de la meilleure production au Québec, cette ode à la vie et au théâtre infuse lentement en nous ce sentiment profond que l’art et la beauté sont essentiels à notre existence.

 

« Les oies par exemple, elles volent, sans savoir pourquoi ni où elles vont. Et peu importe, pourvu qu’elles volent! »

Crédits

En coproduction avec Théâtre Niveau Parking

Texte : Michel Nadeau, en collectif avec Marie-Josée Bastien, Lorraine Côté, Hugues Frenette, Pierre-François Legendre, Véronika Makdissi-Warren et Jack Robitaille.
Mise en scène : Michel Nadeau
Assistance à la mise en scène : Mélissa Bouchard
Décor et accessoires : Monique Dion
Costumes : Dominique Giguère
Lumières : Denis Guérette
Musique : Stéphane Caron

Distribution

Charles-Étienne Beaulne

Crédit photo: Vincent Champoux

Charles-Étienne Beaulne
Claude Breton-Potvin
Claude Breton-Potvin
Hugues Frenette

Crédit photo: Julie Artacho

Hugues Frenette
Véronika Makdissi-Warren

Crédit photo: Nicola Frank Vachon

Véronika Makdissi-Warren
Marc-Antoine Marceau

Crédit photo: David Mendoza Helaine

Marc-Antoine Marceau
Nathalie Séguin

Crédit photo: Eva Maude TC

Nathalie Séguin

Extraits vidéo

Critiques

« Cette pièce est un bouillon de poulet pour l'âme [...] qui mets en valeur la beauté. [...] C'est une pièce qui fait du bien où les gens en ressortent avec un certain questionnement, mais surtout avec un apaisement. »
- Julie Veillette

Québec Réveille sur les ondes de CKIA FM

« Michel Nadeau, le directeur artistique de La Bordée, a vu juste en ouvrant la 43e saison du théâtre avec une reprise de Lentement la beauté. Sa pièce n’a pas pris une ride, bien au contraire. Dans un contexte où le rythme de la vie s’accélère sans cesse, prendre le temps de réfléchir au sens de celle-ci ne s’avère pas un luxe, mais bien une nécessité. Une proposition accueillie par un tonnerre d’applaudissements mercredi soir. »
- Éric Moreault

Le Soleil

« Disons-le sans détour, Hugues Frenette […] offre une performance impeccable. Son jeu subtil, alliant retenue et vérité, donne corps à la quête de celui qu’il incarne, un homme dont l’éloquence, l’aisance à exprimer ce qu’il ressent est inversement proportionnelle à la vastitude des sentiments qu’il éprouve. »
- Sophie Pouliot

Revue jeu