Résumé

De la surprenante rencontre avec l’amour de sa vie dans une file d’attente à l’aéroport à ses débuts comme productrice en cinéma, en passant par son rôle de mère de deux enfants, une femme se livre à nous. Truculente, ambitieuse et drôle, elle nous parle de la vie, de sa vie, dans tout ce qu’elle a d’extraordinaire et de cruel, surtout quand le sol glisse sous nos pieds.

 

J’ai rencontré mon mari dans une file d’attente à l’aéroport pis je dois dire qu’il m’a immédiatement été antipathique.

 

Offerte en salle pour 42$ pour tous et à 32$ pour les anciens abonnés. Pour obtenir ce tarif préférentiel, veuillez contacter la billetterie par téléphone au (418) 694-9721 ext. 501.

Crédits

Une production de La Manufacture

Texte : Dennis Kelly
Traduction : Fanny Britt
Mise en scène : Denis Bernard
Assistance à la mise en scène : Marie-Hélène Dufort
Décor : Olivier Landreville
Costumes : Mérédith Caron
Éclairage : Julie Basse
Musique : Fanny Bloom
Régie : Julie Brosseau-Doré
Photos répétitions : Camille Gladu-Drouin

Distribution

Marilyn Castonguay

Crédit photo: Kelly Jacob

Marilyn Castonguay

Extrait vidéo

Critiques

« Marilyn Castonguay trouve ici un rôle complexe à sa juste mesure. (...) Le metteur en scène Denis Bernard orchestre habilement le tout avec sobriété et fluidité. »
- François Jardon-Gomez

Le Devoir

« Pour son premier solo au théâtre, Marilyn Castonguay livre ici une performance époustouflante ! La comédienne porte ce texte exigeant comme un bijou précieux. (...) Notons que Les filles et les garçons est traduite par Fanny Britt. L’autrice, qui en est à sa cinquième traduction d’une œuvre de Dennis Kelly (Après la fin, Orphelins…), sait faire résonner chaque mot du texte. Finalement, la belle musique de Fanny Bloom enveloppe cette partition avec finesse. À voir ! »
- Luc Boulanger

La Presse

« Je ressens encore le coup de poing au plexus de cette œuvre nécessaire menée en solo par l’incandescente Marilyn Castonguay et dirigée par Denis Bernard. La puissance de l’abîme... À voir, sans aucun doute. »
- Catherine Richer

Le 15-18, ICI Première