Résumé

ATTENTION, PRÉSENCE D’ÉCLAIRAGES STROBOSCOPIQUES.

 

Une jeune femme est assassinée. Son ami François est le dernier à l’avoir vue vivante. Les policiers le soupçonnent fortement. Malgré le test du polygraphe, il n’est pas innocenté. La pression se fait de plus en plus forte sur lui, au point où il se met à douter de sa propre innocence, de sa propre raison, de son identité. A-t-on le droit de tout faire pour trouver la vérité?

 

Jamais reprise au Québec depuis sa création, cette pièce de Marie Brassard et Robert Lepage a tout d’un film policier avec meurtre et recherche de coupable à la clé, mais pourtant… c’est dans un véritable labyrinthe philosophique qu’ils nous entraînent, un jeu de miroirs infernal où le vrai et le faux nous éblouissent pour mieux cacher la réalité.

 

Mais j’aime à penser qu’elles peuvent signifier (…) une vérité qui en cache une autre, qui en cache une autre et une autre…

 

Le polygraphe sera un spectacle hors-norme! La mise en scène sera en mode bi-frontal, c’est-à-dire qu’il y aura des spectateurs dans la salle ET sur la scène. Une première du genre à La Bordée! Si vous désirez voir un spectacle d’un tout autre point de vue, vivre une expérience différente, c’est l’occasion avec cette série de sièges sur scène.

 

Offerte en salle pour 42$ pour tous et à 32$ pour les anciens abonnés. Pour obtenir ce tarif préférentiel, veuillez contacter la billetterie par téléphone au (418) 694-9721 ext. 501.

La captation est disponible jusqu’au 2 mai prochain!

 

MAJORITÉ 2070 

En première partie de la pièce, découvrez une création de Samuel Corbeil. L’auteur et metteur en scène du projet, a rencontré des jeunes adultes afin de les interroger sur la manière dont ils imaginaient le monde en 2070. À partir de ces entretiens, et au détour d’une pandémie mondiale qui l’a mené à réfléchir à son propre rapport aux technologies, il a écrit cinq courtes scènes de science-fiction d’environ sept minutes qui seront jouées avant chacune de nos cinq productions. Des comédiens et comédiennes d’expérience incarneront ces jeunes dans un futur lointain.

Voici la première : 

Thomas se familiarise avec EMMA, son nouveau système d’intelligence artificielle, qui lui demande de raconter un souvenir.

Pour en savoir plus sur les autres premières parties, cliquez ici.

Crédits

Texte : Marie Brassard et Robert Lepage
Mise en scène : Martin Genest
Assistance à la mise en scène : Émile Beauchemin
Décor : Jean-François Labbé
Arts numériques : Herman Kolgen
Costumes : Jeanne Huguenin
Musique originale : Yves Dubois
Éclairages : Laurent Routhier
Construction des décors : Conception Alain Gagné et Jean-François Labbé
Gréage : Patrice Dubé
Coiffure : Andréa Sraysse
Maquillage : Béatrice Lecomte-Rousseau
Habilleuse : Géraldine Rondeau
Régie générale : Samuel Sérandour
Régie de plateau : Abel Longuépée
Régie plateau vidéo : Étienne D'Anjou
Sonorisateur : Nicolas Désy
Crédit photo de saison : Alex Dozois
Crédit vidéo bande-annonce : Raphaël Posadas
Crédit photos de répétitions : Renaud Philippe
Remerciements à : Raphaël Posadas, Productions Recto-Verso, Keven Dubois, Pierre-Olivier Fréchette-Martin, Carrefour international de théâtre, Le Trident, Raphaël Dubé, Machine de cirque, François Leclerc, et Ex Machina

Distribution

Michel Nadeau

Crédit photo: Atwood

Michel Nadeau
Mary-Lee Picknell-Tremblay

Crédit photo: Hélène Bouffard

Mary-Lee Picknell-Tremblay
Steven Lee Potvin

Crédit photo: Odile Gagné-Roy

Steven Lee Potvin

Extrait vidéo

Critiques

« Dans sa relecture, le metteur en scène, Martin Genest, relève avec brio le défi d’exprimer le langage théâtral dans une démarche cinématographique osée. »
- Pierre O Nadeau

Journal de Québec

« Grâce à une ingénieuse mise en scène aidée de quelques projections et d'un savant jeu de panneaux, le point de vue est relégué au second plan, toute l’attention se porte sur le trio d’acteurs […]. »
- Valérie Marcoux

Le Soleil

« […] une proposition théâtrale à la mise en scène aussi astucieuse qu’unique. »
- William Pépin

Impact Campus

« Une belle performance d’acteur qui mérite d’être souligné. »
- Claude Bernatchez

Premières heures, Radio-Canada